Dans cette étude publiée le 14 octobre sur son site, l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS) démontre que le programme de prêts aux étudiant·e·s du Québec aurait avantage à être revu en profondeur pour diminuer sa dépendance envers les institutions financières privées. Une telle politique allégerait le poids de ce programme pour les finances publiques, en plus de réduire l’endettement étudiant.
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