François Legault nous demande d’oublier la question de la souveraineté du Québec. Elle serait impossible. Ce serait un faux problème. Ce serait un problème sans solution. Ce serait un problème qui sèmerait une division impossible. Il faudrait s’attaquer aux vrais problèmes...
Et, c’est, semble-t-il sans gêne, qu’il prétend nommer sa collection d’arrivistes attirés par le pouvoir, Coalition pour l’avenir du Québec. Cet appel à la démission nationale, qui redouble celui de Jean Charest, est (…)
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Débats politiques
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L’indépendance, ça urge !
22 novembre 2011, par Bernard Rioux -
La Coalition Avenir Québec, un miroir aux alouettes
22 novembre 2011, par Bernard RiouxCe 14 novembre 2011, François Legault lançait officiellement son parti Coalition Avenir Québec. Il espère qu’il le conduira au pouvoir pour les dix prochaines années. C’est le temps qu’il se donne pour relancer le Québec. Coalition Avenir Québec est le parti de tous ceux et celles qui ont de l’ambition, des compétences et l’esprit d’entreprise, affirme-t-il.
Comment espère-t-il convaincre la population de le soutenir ?
D’abord, ce parti doit savoir se présenter et peaufiner son image. (…) -
Le capitalisme régulé comme perspective !
30 novembre 2010, par Bernard RiouxLes 26 et 27 novembre derniers s’est tenu à Montréal un Colloque international sur le renouvellement de la social-démocratie. Il s’agira ici dans un premier article de présenter la nature de ce projet, la nature des sensibilités sociales-démocrates véhiculées par ce groupe et l’impasse qu’il représente pour la gauche québécoise.
Ce colloque était appuyé par l’Institut de Recherche en Économie Contemporaine, le Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de Montréal, (…) -
À gauche, quelles alternatives économiques
10 février 20079:30 Éric Martin : Capitalisme délirant et naufrage de l’éducation
11:00 Gaëtan Breton : Fiscalité redistributive et politique économique de gauche
13:30 Dorval Brunelle : Peut-on rompre avec l’ALENA ?
15:00 Eric Pineault : Le fardeau de la dette : comment se défaire de ce chantage permanent du capital financier ?
Cette journée est à l’initiative de :
Gauche socialiste ; Masse critique : Presse toi à gauche ; Unité Ouvrière -
Québec solidaire : au-delà de l’électoralisme ?
21 mars 2006, par David MandelUn peu plus de 50 personnes ont participé à la soirée de lancement du collectif montréalais de Presse-toi à gauche ! le 16 mars, à l’Université du Québec à Montréal. Au programme, un débat-discussion sur le thème « Québec solidaire : au-delà de l’électoralisme ? » Nous vous proposons le texte introductif présenté par David Mandel, membre de Presse-toi à gauche ! et professeur en science politique à l’UQAM.
Dans l’UFP, on aimait dire qu’on était “un parti des urnes et de la rue”. Mais je (…) -
Les défis du nouveau parti de la gauche unie !
17 janvier 2006Les classes dominantes et les gouvernements néolibéraux tant au Canada qu’au Québec sont passés à une nouvelle phase de l’offensive. Flexibilité du marché du travail et privatisation des services publics sont les deux piliers de cette dernière. Cette nouvelle phase est marquée par la remise en question du modèle québécois issu d’un compromis face aux mobilisations sociales antérieures. Le gouvernement Charest cherche à créer un mode de gestion excluant la concertation sociale avec les (…)
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Après la course à la direction au PQ !...
11 décembre 2005Pierre Dubuc dit dans l’Aut’journal de décembre que le programme du PQ est un bon programme. Après l’élection embêtante d’André Boisclair comme chef du PQ, M. Dubuc se rabat sur l’idée du bon programme pour promouvoir son parti.
Je comprends très bien que M. Dubuc veuille mettre de côté la question du chef du PQ. Même Le Soleil présentait André Boisclair comme un candidat de centre-droit. C’est un peu gênant pour la gauche du PQ qui veut rallier à elle les votes progressistes.
Mais le (…) -
Le PCQ se sépare de son vis-à-vis canadien
19 juin 2005C’est par un vote unanime de ses membres que la direction nationale du Parti communiste du Québec (PCQ) a finalement décidé de mettre fin à l’association qui existait jusqu’à là entre le PCQ et son vis-à-vis canadien.
Cette décision fut prise en toute connaissance de cause et découle d’un triste constat. Le PCQ ne peut en effet que constater et déplorer le renforcement , au sein du Parti communiste du Canada (PCC), des idées chauvines vis-à-vis du Québec et l’ampleur du fossé existant de (…) -
Les souverainistes doivent quitter le PQ s’ils veulent revenir actif pour la lutte indépendantiste !
30 janvier 2005Le Parti Québécois est-il indépendantiste ? A sa naissance, le PQ s’est défini comme le défenseur de la souveraineté-association. Cette association devrait être le fruit d’une négociation d’égal à égal avec le gouvernement fédéral ? L’histoire de la première décennie du PQ a été celle du caractère obligatoire ou aléatoire du trait d’union entre la souveraineté et l’association. Dès 1978, René Lévesque, à l’Assemblée nationale, affirmait le caractère indissociable des deux perspectives : pas (…)
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Le chef du PQ réaffirme son crédo néolibéral
16 janvier 2005Dans le document de Bernard Landry intitulé " Regard sur les enjeux économiques du Québec", le chef de l’opposition officielle donne toute la mesure de son ralliement au néolibéralisme. Son principal mot d’ordre pour le Québec "accroître la compétitivité" des entreprises privées. Ces dernières se voient confiées le rôle essentiel dans la croissance économique du Québec. L’État est défini comme un "partenaire et un accompagnateur de l’entreprise". Pour accroître cette compétitivité, Landry (…)