Nous cherchons à promouvoir une politique syndicale qui défend l’orientation d’un syndicalisme de combat et de classe. Nous croyons que nos efforts doivent partir des intérêts des travailleurs et des travailleuses et non pas de grands principes et de dénonciations verbales. Une stratégie syndicale basée sur l’indépendance de classe doit s’articuler autour des axes suivants :
I. Promouvoir la solidarité et l’unité d’action
Le mouvement syndical québécois est profondément divisé, et (...)
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Débats politiques
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Pour une politique syndicale d’indépendance de classe
29 octobre 2004 -
LE PQ, UN INSTRUMENT DE RÉCUPÉRATION ET DE DÉVOIEMENT DE LA LUTTE INDÉPENDANTISTE
9 mai 2004, par Bernard RiouxLe départ
Octobre 67, les positions "souverainistes" de René Lévesque au congrès du Parti Libéral du Québec sont battues largement. Il quitte le PLQ avec un groupe de ses partisans. Octobre 68, le Parti Québécois tient son congrès de fondation. René Lévesque en devient le président.
D’emblée le mouvement nationaliste trouve un personnel politique qui lui donnera sa "respectabilité". L’ensemble des forces nationalistes, si ce n’est quelques forces de gauche, rallient le PQ. Le (...) -
Une fraction syndicale au sein du PQ ou un parti ouvrier indépendant ?
5 mai 2004Le " club " politique Syndicalistes et progressistes pour un Québec libre (SPQL) est un regroupement de dirigeants et de militants issus principalement des rangs syndicaux, qui déplorent l’absence des travailleurs organisés sur la scène politique et les conséquences qui en découlent pour la population travailleuse et les défavorisés de la société, et qui ont décidé de s’engager dans l’action avec l’intention de changer le cours des choses. Voilà qui à première vue est extrêmement positif. (...)
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Est-ce à dire qu’on est là pour combattre le PQ ? Oui
25 avril 2004, par Marc BonhommeNotre camarade Amir Khadir dont la notoriété fait tant pour faire connaître l’UFP a publié dans Le Devoir du 13 avril une contribution invitant à faire de la politique à gauche. Il rappelle à juste titre que le mode de scrutin est injuste, particulièrement pour les petits partis comme l’UFP. On est agréablement surpris à sa manière rafraîchissante, à partir des couleurs des Patriotes, de présenter l’UFP comme un parti " ...social, écologiste et féministe... " qui " ...revendique (...)
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De la politique, il faudra peut-être en faire à gauche aussi...
25 avril 2004, par Amir KhadirMédecin et candidat de l’Union des forces progressistes dans la circonscription montréalaise de Mercier aux élections québécoises d’avril 2003
Les dernières élections au Québec, le 14 avril 2003, évoquent de forts sentiments et des souvenirs pour beaucoup de gens. Pour les uns, la fierté d’une victoire personnelle, pour d’autres, le sentiment d’un devoir accompli en dépit de la défaite. Et pour beaucoup de Québécois aujourd’hui — de très nombreux même qui ont voté pour le Parti libéral (...) -
SPQ-libre, l’institutionnalisation du partenariat-concertation
13 avril 2004, par Marc BonhommeLa naissance de SPQ-libre a l’avantage de clarifier les choses. Enfin, la gauche sociale péquiste est visible sur les radars du débat politique. Il faut apprécier cette brèche de la culture consensuelle, purement de façade, du « progressivisme » québécois, culture d’oppression nationale s’il en est. Si la direction du PQ accepte cette tendance organisée de la gauche nationaliste - a-t-elle électoralement le choix ? - le pluralisme partidaire ayant pignon sur rue aura définitivement (...)
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La rentrée de SPQ-Libre dans le PQ : l’histoire se répète
11 avril 2004, par Sacha Alcide Calixe... Dans les numéros de février et de mars de l’Aut’ Journal, le journaliste Pierre Dubuc et le syndicaliste Marc Laviolette (ancien chef de la CSN) appelaient à la rentrée de la gauche syndicale et progressiste dans le PQ comme stratégie d’action dans la nouvelle conjoncture Charest-Martin. Quelques semaines plus tard, ce mot d’ordre se concrétisait par le ralliement d’un certain nombre de têtes d’affiches du milieu syndical et social sous la bannière du club politique SPQ-Libre (...)
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Le scrutin proportionnel et le PQ:un premier test pour le SPQ libre
15 mars 2004, par Paul ClicheLe club politique Syndicalistes et progressistes pour un Québec libre (SPQ libre), qui rêve d’investir le Parti québécois pour le tirer à gauche, a du pain sur la planche ; c’est le moins qu’on puisse dire.
Le premier défi que l’actualité lui impose est certes de convaincre la formation souverainiste de revenir aux valeurs défendues par son fondateur René Lévesque en matière de réforme des institutions politiques afin que le déficit démocratique qui affecte notre système politique soit (...) -
L’impasse en perspective !
7 mars 2004, par Bernard RiouxC’est sous le titre "Des syndicalistes sous la bannière du PQ" que Marc Laviolette, ex-président de la CSN, propose, dans le numéro de mars de l’Aut’journal, une nouvelle orientation pour la gauche syndicale et progressiste dans la "conjoncture conditionnée par l’arrivée de Paul Martin et Jean Charest au pouvoir".
"Dans nos démocraties, écrit-il, les luttes de proximité doivent se prolonger dans l’action politique partisane". En effet, toute la question est là ! Quel parti doit soutenir (...) -
Encore faut-il savoir de quelle action politique on parle !
22 février 2004, par Bernard Rioux"Oui à la grève générale et à l’action politique !" C’est ainsi que Pierre Dubuc intitule La page éditoriale du numéro de février de l’Aut’journal. Et plus bas, nous pouvons lire : "la leçon ontarienne est claire : le mouvement syndical doit investir le champ politique". Voilà qui est bien dit. Il ajoute que le gouvernement Charest a déclaré une véritable guerre au mouvement syndical et que la concertation a vécu", si ce n’est, pourrions-nous ajouter, dans le cœur des concertationnistes (...)