Si stratégiquement l’UFP doit être un parti de la rue et des urnes, la prochaine période pré-électorale et électorale devra être celle des urnes à la manière de la rue. Pour ce faire, au niveau national, il faut s’inscrire dans l’approfondissement de la crise du bloc nationaliste tant par rapport au prolétariat que par rapport aux nations aborigènes et à l’impérialisme étasunien. Au niveau régional et local, il nous faut approfondir le processus de la plate-forme participative, tout en y liant nos tâches organisationnelles, pour construire l’UFP.
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Union des forces Progressistes
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Un parti des urnes à la manière de la rue
16 août 2002, par Marc Bonhomme -
Quelles perspectives du courant Démocratie socialiste ?
16 août 2002, par Gauche socialisteLe nouveau parti que le Courant Démocratie Socialiste veut contribue, avec d’autres, construire n’est pas sorti tout fait du congrès de juin. On a parlé d’un parti processus. Pour définir des perspectives du CDS, il est important de fixer clairement ce que le CDS veut que soit ce parti.
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Lettre M. Pierre Dubuc,
4 août 2002J’ai été estomaqué par votre éditorial "Un plan de match pour bloquer l’ADQ" paru dans le no. juillet-août de l’Aut’Journal. Alors que de nombreux électeurs désabusés du PQ se tournent vers l’ADQ pour réclamer aveuglément du changement, vous voulez que l’UFP et d’autres forces progressistes s’allient avec le PQ qui génèrent ce désabusement et cette volonté de changement !?! Je pense que votre intuition politique vous joue de mauvais tours !
Agir ainsi serait immédiatement perçu comme la (…) -
pour un véritable renouvellement de la politique !
26 juin 2002, par Molly Alexander, Pierre DostiePar Pierre Dostie, vice-président porte-parole de l’UFP et Molly Alexander, vice-présidente porte-parole de l’UFP
Les commentateurs politiques se perdent en conjecture devant la montée de l’ADQ qui semble-t-il n’avait pas été prévue. Les progressistes sont inquiets, les conservateurs sont plein d’espoirs alors que le PQ et le PLQ sont désemparés. Pour ne pas dire en panique. Le PLQ, qui a subi une transplantation de chef dont le donneur était le Parti conservateur fédéral, chercherait (…) -
Sens et importance
23 juin 2002, par Bernard RiouxLes 15 et 16 juin dernier, la gauche se donnait un parti unifié, l’Union des Forces Progressistes. Les chroniqueurs des grands médias ont vite fait de diminuer l’importance de l’événement et ont refusé d’y regarder même de plus près se contentant de nous resservir leurs vieux préjugés, encore une fois, en guise d’analyse. Il est important de tirer un bilan de ce congrès, moins pour y scruter les difficultés de la démarche sur lesquelles il faudra bien revenir - mais pour tirer au clair toutes les potentialités de ce moment fondateur.
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Un appel à joindre les rangs de l’UFP est fait aux progressistes du Québec
16 juin 2002Montréal (16 juin 2002) - C’est dans l’enthousiasme que les 300 délégués de l’Union des forces progressistes ont tenu leur congrès de fondation à Montréal les 15 et 16 juin 2002. Le nouveau parti, issue de trois partis fondateurs (RAP, PDS, PCQ), et d’indépendants regroupés en une dizaine d’associations de circonscriptions locales de l’UFP se présente comme une alternative aux partis néolibéraux que sont le PQ, le PLQ et l’ADQ. Les porte-parole de l’UFP ont particulièrement fustigé l’ADQ, ce (…)